| Titre en français : | Prélude symphonique |
| Mouvement de : | Tess |
| Instrumentation (fr) : | orchestre |
| Instrumentation (en) : | orchestra |
| Notice (fr) : | Le poème de Tess, drame lyrique en 4 actes, a été tiré par M. L. Illica d’un des romans les plus célèbres de la littérature anglaise moderne «Tess of the d’Urbervilles», de Thomas Hardy. L’ouvrage fut d’abord représenté au Théâtre San Carlo de Naples, puis à Milan, ensuite au Théâtre de Covent-Garden, à Londres, où Mme Destinn créa avec un éclatant succès le rôle de l’héroïne. Tess figure pour l’année 1911 au programme de plusieurs autres grandes scènes lyriques, notamment à l’Opéra-Royal de Budapest. Le prélude symphonique du 3e acte, qui seul nous occupe aujourd’hui, peut d’autant mieux se détacher de la partition pour être exécuté comme morceau de concert que les thèmes sur lesquels il est construit ne paraissent pas dans les deux actes précédents, et ne nécessitent en conséquence aucun commentaire. Ce morceau dépeint le réveil de la nature en même temps que celui de l’âme de Tess, qui après avoir passé par d’affreux tourments, s’épanouit au soleil de l’amour. [GC2-203] |
| Rédacteur (fr) : | B. |
| Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
| Frédéric D’Erlanger | Compositeur | M |